1. ANALYSE DETAILLEE
1.1. AFFAIBLISSEMENT DU SIGNAL EMIS
Transparent n° 1 : Affaiblissement du signal émis
Suivant la distance le signal émis se dégrade et ne garde pas son amplitude initiale, cela cause un message incompréhensible.
1.2. PERTURBATIONS BRUYANTES
Transparent n° 2 : Perturbations bruyantes
Les perturbations bruyantes ont diverses origines et attaquent la chaîne de transmission à tous les niveaux.
1.2.1. AU CAPTEUR
C’est l’organe le plus sensible au bruit d’ambiance car il doit être capable de transmettre des niveaux sonores très faibles
1.2.2. A L’EMETTEUR
Les bruits à ce niveau sont dus principalement aux composants utilisés, aux parasites induits par couplage et aux distorsions résultant d’un défaut d’amplification.
1.2.3. AU RECEPTEUR
Le récepteur est un maillon très sensible car il doit pouvoir capter des énergies très faibles, il est donc nécessaire de soigner particulièrement la technologie des étages d’entrée du récepteur pour éviter une dégradation trop importante des faibles signaux.
1.2.4. A LA REPRODUCTION PAR UN TRADUCTEUR
La dégradation de l’information provient essentiellement du milieu ambiant.
2. QUALITE D’UNE LIAISON
2.1. TRANSMISSION D’UN SIGNAL A STRUCTURE CONTINUE
La qualité d’une liaison est donc définie par le rapport signal/bruit mesuré à la sortie du récepteur. En fait on mesure le rapport signal+bruit/bruit car il est impossible d’extraire le bruit qui pollue le signal.
2.2. TRANSMISSION DE SIGNAUX TOUT OU RIEN
Dans le cas des signaux « tout ou rien » (présence ou absence d’une impulsion), si le niveau de bruit est voisin de celui du signal utile, il peut apparaître des informations erronées par suit de l’introduction de fausses impulsions ou de la suppression d’impulsions existantes.
Transparent n° 3 : Transmission de signaux tout ou rien
Dans le cas de cette transmission le taux d’erreurs mesuré à la réception sera le critère qui définit la qualité d’une liaison.